Survivez à la tuerie de l'île
Si vous aimez les jeux du genre PlayerUnknown's Battlegrounds, vous allez adorer ce jeu d’Elex pour Android. Last Battleground: Survival est un survival du genre Battle Royal sur lequel vous allez vous faire lancer en parachutes pour vous laisser sur une île apparemment désert. Le but du jeu est de survivre à tous les autres joueurs qu’il y a sur l’île : il peut y avoir un seul survivant.
Jeu de Battle Royale où 32 joueurs sont dépliés à leur sort sur une île déserte.
Éliminez-les tous
Le but du jeu est simple : être le dernier survivant sur l’île. Pour cela, vous devrez développer votre meilleure stratégie pour passer inaperçu et, en même temps, éliminer tous les pièges, les menaces et les adversaires. Mais ce n’est pas facile. Vous arriverez sur l’île sans rien et vous devrez vous dépêcher à trouver une arme et des provisions. Vous pourrez trouver toute sorte d’objets comme des révolvers, des munitions et des améliorations pour vos armes, en plus de vêtements et de protections.
Trouvez une arme et des provisions le plus tôt possible et restez dans la Zone de Sécurité. Éliminez vos adversaires jusqu’à rester le dernier en vie.
Un autre danger à affronter est la « Zone de Sécurité », une espèce de dôme bleu qui réduit la taille des cartes selon le temps passe. Si vous restez en dehors de la limité, vous êtes mort. Cet espace change à chaque partie. Vous pourrez jouer à 32 joueurs dans une même partie avec un environnement 3D et un graphisme assez réaliste. Cependant, vous ne pourrez pas jouer hors ligne car il s’agit d’une expérience multijoueur en temps réel. Last Battleground: Survival manque pas mal de travail encore mais vous allez pouvoir bien vous amuser avec.
Conditions et information supplémentaire :
- Système d’exploitation minimum requis : Android 4.0.3.
Je suis diplômée en droit et en journalisme, avec une spécialisation en criminologie et en journalisme culturel. Une de mes grandes passions ce sont les applications mobiles, en particulier les applications Android. Depuis plus de six ans, je...
Lauriane Guilloux